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Guyane : la coopération internationale se renforce contre l’orpaillage illégal ou les trafics
Publié le : 06/09/2021 – 11:36
Des délégations du Guyana, du Suriname et de France se sont réunies cette semaine sur le Plateau des Guyane, une région où se rejoignent les frontières des trois pays, pour tenter d’unir leurs forces en matière de défense et de sécurité. Un accord de coopération a été signé entre les différents interlocuteurs. Les trois territoires affrontent des menaces communes comme l’orpaillage illégal, le trafic de drogue ou bien celui d’êtres humains.
En Polynésie, des renforts ont été envoyés pour aider la Polynésie à surmonter la crise Covid-19. Une centaine d’aides-soignants, d’infirmiers et médecins sont arrivés à Tahiti, en provenance de l’Hexagone. Ils vont passer trois semaines en Polynésie, où les décès et les hospitalisations liées au virus y sont toujours en hausse. Le confinement en vigueur depuis le 23 août est prolongé de deux semaines. Sur certaines îles de Polynésie, les moyens manquent cruellement pour gérer l’afflux de patients. Certains malades rester du coup chez eux et des médecins libéraux assurent leur suivi à domicile. Reportage sur l’île de Tahaa. À l’inverse la Nouvelle-Calédonie est aujourd’hui considérée comme « Covid-free », sans nouveau cas. La vaccination va y devenir obligatoire, c’est une première en France : toutes les personnes majeures devront recevoir leurs injections, tout comme les voyageurs arrivant sur le territoire.À Mayotte, dans l’Océan indien, se sont déroulées les obsèques de Marcel Henry. L’ancien sénateur, âgé de 95 ans, s’était ardemment battu pour faire de Mayotte un département français. Des milliers de Mahorais se sont déplacés pour lui rendre un dernier hommage. Sur l’île de La Réunion, des balises nocturnes sont installées pour signaler les câbles à haute tension aux oiseaux. Un moyen inédit en France de protéger les espèces.Les reliques du chef Ataï, icône de la révolte kanak de 1878 contre les colons français en Nouvele-Calédonie, ont été inhumées, le 2 septembre 2021, à Fonwhary. La tête d’Ataï avait été conservée jusqu’en 2014 à Paris, avant d’être restituée aux Calédoniens.
